BOURGOGNE

4 000 avantages financiers pour les jeunes de la région

4 000 avantages financiers pour les jeunes de la région

Du 1ᵉʳ septembre 2025 au 31 août 2026, Info Jeunes Bourgogne-Franche-Comté lance la neuvième édition de la carte Avantages Jeunes. Avec le soutien du conseil régional, elle permet aux moins de 30 ans de profiter de nombreuses réductions financières dans un large panel de secteurs.

« C’est un passeport pour la liberté grâce à un support pour savoir ce qui existe à côté de chez soi avec de nombreux avantages pour augmenter le pouvoir d’achat et le pouvoir de vivre », a introduit Sarah Persil, vice-présidente en charge de la jeunesse, de la vie associative, de la citoyenneté et de la démocratie participative. Info Jeunes Bourgogne-Franche-Comté et le Conseil régional, partenaire financeur majeur, ont lancé la neuvième édition de la carte Avantages Jeunes.


Concrètement, les moins de 30 ans de la région peuvent acquérir la carte en payant dix euros, neuf s’ils utilisent le code de réduction de la Banque populaire, CAJBPBFC, partenaire du dispositif, et ainsi avoir accès à 4 000 avantages partout en région. À titre d’exemple, à Beaune, ils peuvent profiter d’une réduction de 5 % à la librairie Des livres et des hommes ou encore d'un tarif réduit pour une partie de bowling au Games Factory. Les offres concernent aussi bien la culture que le sport, la santé mais aussi les commerces en tout genre comme dans les boutiques de la biscuiterie Mistral ou Védrenne.


« Cette carte a trouvé son public puisque 100 000 jeunes l’ont utilisée en 2024-2025 », précise Sébastien Maillard, directeur d’InfoJeunes BFC. Grâce à un partenariat avec la carte jeune européenne, pour deux euros de plus, les titulaires de la carte peuvent accéder à 70 000 avantages dans 38 pays.


Pour se procurer la carte Avantages Jeunes, les moins de 30 ans peuvent se rendre en ligne ou dans l’un des 1 500 points de diffusion en région. Pour Soraya, 21 ans, étudiante à Dijon, la carte s’est avérée être « une vraie solution face à la précarité étudiante » qui lui a permis d’acheter ses livres de cours à prix réduit mais aussi « d'aller dans certains commerces que je ne connaissais pas ou encore d'aller au cinéma ou au musée ».

Nadège Hubert